« Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi faut-il que soit élevé le Fils de l’Homme » (Jn 3,14).

St Jean nous offre ici un parallèle étonnant : il compare Jésus, semble-t-il, à un serpent ! Mais en prenant le temps d’aller lire l’épisode auquel il se réfère dans le Livre des Nombres (Nb 21,4-9), ce parallèle est un des rares passages du Nouveau Testament où Jésus est en fait présenté comme celui qui prend sur lui toutes les conséquences de nos fautes : Lui qui n’a n’en a jamais commis, il est blessé de nos blessures, conséquences de nos désobéissances, et souffre de nos souffrances, pour nous rejoindre au coeur des conséquences de nos fautes, nous aider à les porter, nous soulager, nous réconforter et nous guérir, petit à petit ! Et sur la Croix, il meurt de notre mort pour que nous vivions de sa vie !

Voici une étude de ce passage…

Le texte grec de l’Evangile selon St Jean et celui des allusions à l’Ancien Testament, dans la traduction grecque de la Septante réalisée par la communauté juive d’Alexandrie à partir du 3° si av JC, sont présentés avec leur traduction littérale, ce qui permet de mieux pressentir les points de contact entre eux et le sens des textes en question…

Pour y accéder, il suffit de cliquer sur le titre ci après :

Jn 3,14-21 – Jésus et le serpent d’airain.

 

 

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